BASCULE DECIMALE
Un petit rappel : l'ensemble monté ....
Maintenant entrons dans le détail :
Vous avez pu voir rapidement à la page d'accueil quelques pièces constitutives associées au schéma de principe.
L'idée ici est de montrer toutes les facettes de la bascule et d'en détailler les éléments ainsi que le montage.
Démontons-la pour mieux la remonter !
La première pièce maitresse en bois : le bâti >>
Il est conçu pour la masse maxi à peser.
- renforts métalliques
- poignée pour mise en repos
- récepteur des couteaux du fléau peseur
(voir zoom)
- récepteurs des couteaux du levier triangulaire
-points d'appui du tablier pour position repos
Nous allons poser maintenant la première pièce maitrese du système de pesage : le levier triangulaire dit du 2ième genre.
>>>
Les deux couteaux sont en place sur le bâti. (voir détail de l'accrochage avec les deux zooms).
On note qu'il reste 3 couteaux "libres" : deux sont destinés à recevoir le tablier, le troisième, en extrémité inférieure du levier, recevra l'une des tringles de puissance.
Continuons donc notre méccano : c'est au tour du plateau recevant la charge, dit tablier.
Notons deux choses :
- pour l'instant 'inactivé', le plateau repose
sur 2 points d'appui, prévus à cet effet (voir
zoom sur l'un d'eux)
- de même, en regardant sur l'autre zoom,
nous verrons que l'extrémité du levier
triangulaire est 'à terre', en attente
(entre les jambes du tablier)
Maintenant montons le fléau peseur ou levier du 1er genre et accrochons-y tout de suite la première tringle de puissance munie d'un crochet à chaque extrémité qui va relier le fléau, via un couteau particulier, au tablier.
Notre affaire est bien avancée : montons maintenant la seconde tringle de puissance qui permet de relier le levier triangulaire au fléau, la liaison se faisant à chaque extrémité par couteaux interposés...
Et voilà, nous avons terminé !
Tout cela peut paraitre compliqué : il n'en est rien, il suffit de se remémorer le schéma de principe que nous pouvons illustrer concrètement par les vues 'éclatées' suivantes où n'apparait pas le tablier (crochet d'une tringle de puissance en attente):
Pour mémoire, la petite boite qui est accrochée au montant du bâti devait servir à metttre quelques petits poids, utilisés pour le tarage. Les deux petites 'têtes de canard', l'une fixe appartenant au bâti, l'autre mobile fixée sur le fléau peseur, permettent de visualiser l'équilibrage (voir zoom).
Maintenant entrons dans le détail :
Vous avez pu voir rapidement à la page d'accueil quelques pièces constitutives associées au schéma de principe.
L'idée ici est de montrer toutes les facettes de la bascule et d'en détailler les éléments ainsi que le montage.
Démontons-la pour mieux la remonter !
La première pièce maitresse en bois : le bâti >>
Il est conçu pour la masse maxi à peser.
- renforts métalliques
- poignée pour mise en repos
- récepteur des couteaux du fléau peseur
(voir zoom)
- récepteurs des couteaux du levier triangulaire
-points d'appui du tablier pour position repos
Nous allons poser maintenant la première pièce maitrese du système de pesage : le levier triangulaire dit du 2ième genre.
>>>
Les deux couteaux sont en place sur le bâti. (voir détail de l'accrochage avec les deux zooms).
On note qu'il reste 3 couteaux "libres" : deux sont destinés à recevoir le tablier, le troisième, en extrémité inférieure du levier, recevra l'une des tringles de puissance.
Continuons donc notre méccano : c'est au tour du plateau recevant la charge, dit tablier.
Notons deux choses :
- pour l'instant 'inactivé', le plateau repose
sur 2 points d'appui, prévus à cet effet (voir
zoom sur l'un d'eux)
- de même, en regardant sur l'autre zoom,
nous verrons que l'extrémité du levier
triangulaire est 'à terre', en attente
(entre les jambes du tablier)
Maintenant montons le fléau peseur ou levier du 1er genre et accrochons-y tout de suite la première tringle de puissance munie d'un crochet à chaque extrémité qui va relier le fléau, via un couteau particulier, au tablier.
Notre affaire est bien avancée : montons maintenant la seconde tringle de puissance qui permet de relier le levier triangulaire au fléau, la liaison se faisant à chaque extrémité par couteaux interposés...
Et voilà, nous avons terminé !
Tout cela peut paraitre compliqué : il n'en est rien, il suffit de se remémorer le schéma de principe que nous pouvons illustrer concrètement par les vues 'éclatées' suivantes où n'apparait pas le tablier (crochet d'une tringle de puissance en attente):
Pour mémoire, la petite boite qui est accrochée au montant du bâti devait servir à metttre quelques petits poids, utilisés pour le tarage. Les deux petites 'têtes de canard', l'une fixe appartenant au bâti, l'autre mobile fixée sur le fléau peseur, permettent de visualiser l'équilibrage (voir zoom).
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